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Le CBD et l’endométriose

L’endométriose est une pathologie encore relativement mal connue. Néanmoins nous savons que c’est une inflammation hormono-dépendante(1) affectant les tissus pelviens.
Elle peut causer des douleurs dans la zone pelvienne peu importe le moment du cycle même si la plupart du temps cela se produit peu de temps avant les menstruations ou lors de cette période.
Cette pathologie donne des douleurs pelviennes durant la période reproductive et peut aller jusqu’à induire une infertilité(2).

Le CBD est un des principes actifs issus du chanvre (aussi appelé cannabis). D’après quelques études(3) il aurait des effets bénéfiques sur l’endométriose notamment sur la gestion de la douleur due à cette pathologie.
L’endométriose est une maladie reconnue que récemment par le corps médical, il faudra donc garder à l’esprit que les recherches de l’action du CBD sur l’endométriose n’en sont qu’à leurs débuts.

Qu’est-ce que le CBD ?

Avez-vous entendu parler des merveilles que peut faire le CBD ? Il s’agit d’une molécule extraite du chanvre, également connu sous son nom latin : cannabis. Cette molécule non psychoactive a démontré ses nombreux bienfaits et ne fait pas planer contrairement au THC !

Qu’est-ce que l’endométriose ?

L’endométriose est une inflammation oestrogène-dépendante de tissus endométriaux ectopiques. Regardons ensemble ce qui se cache derrière cette explication un peu barbare.

Qu’est ce qui provoque l’endométriose et quels sont ses facteurs d’aggravation ?

Comme nous l’avons vu, l’endométriose est une maladie encore mal connue. Nous verrons plus bas qu’il existe de nombreuses causes possibles à l’endométriose, voilà pourquoi souvent on ne parle pas de “L’endométriose” mais “DES endométrioses”.
Cette pathologie a été décrite pour la première fois en -1855 avant JC en Egypte(4). Néanmoins elle a souvent été assimilée à des “hystéries féminines” voire suivant les époques à des possessions démoniaques.

Bien que ce ne soit pas réellement un facteur d’aggravation, une trop forte présence d’œstrogène dans le corps peut causer des douleurs vraiment vives. Rappelons que l’endométriose est la présence de cellules ectopiques endométriales hormono-dépendantes réagissant aux œstrogènes.

Comme toujours, les facteurs d’aggravation vont être les perturbateurs du système de synthèse des stréroïdes sexuels(5) comme l’alcool, la caféine, le tabac, le manque d’activité physique et une alimentation trop riche en soja, en viande rouge et en acides gras trans(6).
Les perturbateurs endocriniens(7) ont aussi leur part belle dans l’endométriose. En mimant les effets des oestrogènes il est donc logique qu’ils soient un facteur d’aggravation.
Enfin, le manque d’exercice physique(8) prédisposerait aussi à l’endométriose.

Une des cause possible étant liée à la génétique(9), il serait possible qu’une femme ayant de l’endométriose transmette la pathologie à sa fille.

La cause de l’endométriose en détail
Une des causes(10) a été développée par Sampson en 1927 puis reprise par de nombreux laboratoires de recherche. Le cycle menstruel féminin est dicté par les hormones. Deux hormones entrent particulièrement en jeu : l’oestrogène et la progestérone. Lors des menstruations, l’endomètre desquame naturellement. Une partie de ces cellules(11), au lieu de s’évacuer normalement par le flux sanguin, migrent vers les trompes de Fallopes voire vers les ovaires ou restent accrochées aux paroies vaginales. Ces cellules gardent les mêmes propriétés que les cellules endométriales, c’est-à-dire qu’elles sont sensibles aux variations hormonales du cycle menstruel.
Une autre théorie(12) développée cette fois en 1959 par Gruenwald, tend à dire que les causes de l’endométriose ne seraient pas dues aux cycles mais seraient bien plus anciennes. Elles remonteraient au développement embryonnaire. Sa théorie rapporte que du tissu destiné à devenir du péritoine, se développerait en tissu endométrial mais resterait à sa place d’origine. Ces morceaux de tissus réagiraient donc aux hormones. La cause de cette induction est encore inconnue bien que des pistes hormonales, environnementales ou infectieuses soient étudiées.
Encore une autre théorie datant de la fin du XIXème siècle émise par le pathologiste allemand Recklinghausen puis reprise par le chercheur Longo propose que ces cellules ectopiques causant l’endométriose soient des vestiges des canaux de Müller(13). Les canaux de Müller sont les prémices de l’appareil génital féminin au stade embryonnaire.
Et il existe encore d’autres causes possible(14) comme la présence d’un ou plusieurs gènes(15) dans notre séquence ADN nous prédisposant à l’endométriose (nous avons ce gène dès notre naissance mais il s’exprime ou pas à l’apparition des premières règles) ou encore un problème au niveau du système immunitaire(16). Le reflux menstruel est normal, les cellules endométriales peuvent devenir ectopique et c’est le système immunitaire qui les détruit. L’endomètre d’une femme souffrant d’endométriose est plus resistant(17) aux cellules du système immunitaire que celui de femmes saines.

La fréquence de l’endométriose 

L’endométriose touche environ 1 femme sur 10(18). Parmi toutes les femmes se plaignant de douleurs pelviennes, 40%(19) souffrent d’endométriose.

Les Symptômes de l’endométriose

Il n’y a pas de symptômes spécifiques à l’endométriose, seuls des examens médicaux d’imagerie peuvent confirmer ou infirmer l’endométriose. Néanmoins certains symptômes(20) peuvent nous faire penser à de l’endométriose tels que : 

  • Des douleurs abdominales cycliques ou non 
  • De la dysménorrhée 
  • De la dyspaneurie (douleurs pelviennes pendant ou après des rapports sexuels)
  • De la dysurie (douleur lors de miction) avec présence ou non de sang
  • Des troubles intestinaux avec alternance de constipation/diarrhée
  • De la dyschésie (selles douloureuses) avec présence ou non sang
  • De la fatigue chronique a été constatée chez beaucoup de femmes
  • L‘infertilité   

A cette liste peut s’ajouter la dépression liée à l’errance médicale dans laquelle se retrouvent souvent les femmes souffrant d’endométriose.

Les traitements de l’endométriose

Une fois de plus, on ne guérit pas de l’endométriose même après chirurgie.

Traitements médicaux:
On peut soulager la douleur avec des anti-inflammatoires ou avoir recours à des traitement hormonaux(21)  (pilule contraceptive, ou analogues à la GnRH) afin de faire baisser le taux d’oestrogène endogène. 

Rappel : seul un professionnel du corps médical est habilité à vous prescrire un traitement.

Aides naturelles:
Il y a aussi le recours aux plantes et au nutriments comme le montre cette étude(22). 

  • Le curcuma(23) est cité pour ses effets anti-inflammatoires mais surtout il a été démontré qu’il permettait de réduire l’inflammation ainsi que la progression et l’invasion de cellules endométriales ectopiques. 
  • La mélatonine(24) est aussi testée et elle réduirait la taille des amas de cellules ectopiques. 
  • La vitamine D(25) a elle aussi montré des résultats prometteurs sur des rats rendus souffrant d’endométriose. La vitamine D inhiberait la prolifération et l’inflammation des cellules ectopiques.

Les bienfaits supposés du CBD sur l’endométriose

Des études récentes(28) ont montré que le système endocannabinoïde était moins réactif chez les femmes souffrant d’endométriose. Ainsi, en ayant recours à des cannabinoïdes exogènes, tel que le CBD, ce système se trouve de nouveau performant.

D’après plusieurs retours clients que nous avons pu avoir en boutique, notre CBD full spectrum aiderait à soulager les douleurs liées à l’endométriose. 

Pour en savoir plus sur le CBD, rendez-vous sur notre article dédié ou directement dans nos boutiques de La Roche sur Foron et Sallanches pour en discuter avec nos vendeuses.

Sources : 

(1) – Bulun SE, Yilmaz BD, Sison C, Miyazaki K, Bernardi L, Liu S, Kohlmeier A, Yin P, Milad M, Wei J. Endometriosis. Endocr Rev. 2019 Aug 1;40(4):1048-1079. doi: 10.1210/er.2018-00242. PMID: 30994890; PMCID: PMC6693056.

(2) – Vercellini P, Viganò P, Somigliana E, Fedele L. Endometriosis: pathogenesis and treatment. Nat Rev Endocrinol. 2014 May;10(5):261-75. doi: 10.1038/nrendo.2013.255. Epub 2013 Dec 24. PMID: 24366116.

(3) – Sinclair J, Collett L, Abbott J, Pate DW, Sarris J, Armour M. Effects of cannabis ingestion on endometriosis-associated pelvic pain and related symptoms. PLoS One. 2021 Oct 26;16(10):e0258940. doi: 10.1371/journal.pone.0258940. PMID: 34699540; PMCID: PMC8547625.

(4) – https://www.allodocteurs.fr/depuis-quand-lendometriose-est-elle-consideree-comme-une-maladie-32685.html

(5) – Hemmert R, Schliep KC, Willis S, Peterson CM, Louis GB, Allen-Brady K, Simonsen SE, Stanford JB, Byun J, Smith KR. Modifiable life style factors and risk for incident endometriosis. Paediatr Perinat Epidemiol. 2019 Jan;33(1):19-25. doi: 10.1111/ppe.12516. Epub 2018 Oct 11. PMID: 30307628; PMCID: PMC6353682.

(6) – Parazzini F, Viganò P, Candiani M, Fedele L. Diet and endometriosis risk: a literature review. Reprod Biomed Online. 2013 Apr;26(4):323-36. doi: 10.1016/j.rbmo.2012.12.011. Epub 2013 Jan 21. PMID: 23419794.

(7) – Rumph JT, Stephens VR, Archibong AE, Osteen KG, Bruner-Tran KL. Environmental Endocrine Disruptors and Endometriosis. Adv Anat Embryol Cell Biol. 2020;232:57-78. doi: 10.1007/978-3-030-51856-1_4. PMID: 33278007; PMCID: PMC7978485.

(8) – Bonocher CM, Montenegro ML, Rosa E Silva JC, Ferriani RA, Meola J. Endometriosis and physical exercises: a systematic review. Reprod Biol Endocrinol. 2014 Jan 6;12:4. doi: 10.1186/1477-7827-12-4. PMID: 24393293; PMCID: PMC3895811.

(9) – 15 – Painter JN, Anderson CA, Nyholt DR, Macgregor S, Lin J, Lee SH, Lambert A, Zhao ZZ, Roseman F, Guo Q, Gordon SD, Wallace L, Henders AK, Visscher PM, Kraft P, Martin NG, Morris AP, Treloar SA, Kennedy SH, Missmer SA, Montgomery GW, Zondervan KT. Genome-wide association study identifies a locus at 7p15.2 associated with endometriosis. Nat Genet. 2011 Jan;43(1):51-4. doi: 10.1038/ng.731. Epub 2010 Dec 12. PMID: 21151130; PMCID: PMC3019124.

(10) – Sampson JA. Metastatic or Embolic Endometriosis, due to the Menstrual Dissemination of Endometrial Tissue into the Venous Circulation. Am J Pathol. 1927 Mar;3(2):93-110.43. PMID: 19969738; PMCID: PMC1931779.

(11) – Burney RO, Giudice LC. Pathogenesis and pathophysiology of endometriosis. Fertil Steril. 2012 Sep;98(3):511-9. doi: 10.1016/j.fertnstert.2012.06.029. Epub 2012 Jul 20. PMID: 22819144; PMCID: PMC3836682.

(12) – Peter Gruenwald. GROWTH AND DEVELOPMENT OF THE UTERUS: THE RELATIONSHIP OF EPITHELIUM TO MESENCHYME.

 Annals of the New York Academy of Sciences. 1959 Jan;75(2):436-440. 

(13) – Longo LD. Classic pages in obstetrics and gynecology. Aberrant portions of the müllerian duct found in an ovary: William Wood Russell Johns Hopkins Hospital Bulletin, vol. 10, pp. 8–10, 1899. Am J Obstet Gynecol. 1979 May 15;134(2):225-6. PMID: 377966.

(14) – Bulun SE, Yilmaz BD, Sison C, Miyazaki K, Bernardi L, Liu S, Kohlmeier A, Yin P, Milad M, Wei J. Endometriosis. Endocr Rev. 2019 Aug 1;40(4):1048-1079. doi: 10.1210/er.2018-00242. PMID: 30994890; PMCID: PMC6693056.

(16) – (17) – Richard O. Burney, M.D., M.Sc. and Linda C. Giudice. Pathogenesis and Pathophysiology of Endometriosis. Fertil Steril. 2012 September ; 98(3): . doi:10.1016/j.fertnstert.2012.06.029.

(18) – (19) –  https://www.inserm.fr/dossier/endometriose/

(20) – (21) – Zondervan KT, Becker CM, Koga K, Missmer SA, Taylor RN, Viganò P. Endometriosis. Nat Rev Dis Primers. 2018 Jul 19;4(1):9. doi: 10.1038/s41572-018-0008-5. PMID: 30026507.

(22) – Machairiotis N, Vasilakaki S, Kouroutou P. Natural products: Potential lead compounds for the treatment of endometriosis. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2020 Feb;245:7-12. doi: 10.1016/j.ejogrb.2019.11.019. Epub 2019 Nov 21. PMID: 31835203.

(23) – Vallée A, Lecarpentier Y. Curcumin and Endometriosis. Int J Mol Sci. 2020 Mar 31;21(7):2440. doi: 10.3390/ijms21072440. PMID: 32244563; PMCID: PMC7177778.

(24) – Mosher AA, Tsoulis MW, Lim J, Tan C, Agarwal SK, Leyland NA, Foster WG. Melatonin activity and receptor expression in endometrial tissue and endometriosis. Hum Reprod. 2019 Jul 8;34(7):1215-1224. doi: 10.1093/humrep/dez082. PMID: 31211323; PMCID: PMC6613342.

(25) – Delissalde F, Hernández MA, Barrón A, Bermejo L, Arias J, Halhali A, Castro I. La vitamina D induce la proliferación de células en cultivo del endometrio de rata [Vitamin D induces proliferation in rat endometrium cultured cells]. Rev Invest Clin. 1998 Mar-Apr;50(2):113-8. Spanish. PMID: 9658929.

(26) – Pereira FEXG, Medeiros FDC, Rocha HAL, Silva KSD. Effects of omega-6/3 and omega-9/6 nutraceuticals on pain and fertility in peritoneal endometriosis in rats. Acta Cir Bras. 2019 May 6;34(4):e201900405. doi: 10.1590/s0102-865020190040000005. PMID: 31066787; PMCID: PMC6583929.

(27) – Hansen SO, Knudsen UB. Endometriosis, dysmenorrhoea and diet. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2013 Jul;169(2):162-71. doi: 10.1016/j.ejogrb.2013.03.028. Epub 2013 May 2. PMID: 23642910.

(28) – Bilgic E, Guzel E, Kose S, Aydin MC, Karaismailoglu E, Akar I, Usubutun A, Korkusuz P. Endocannabinoids modulate apoptosis in endometriosis and adenomyosis. Acta Histochem. 2017 Jun;119(5):523-532. doi: 10.1016/j.acthis.2017.05.005. Epub 2017 May 23. PMID: 28549792.

(29) – M.L.Barrett, D.Gordon, F.J.Evans. Isolation from cannabis sativa L. of cannflavin—a novel inhibitor of prostaglandin production. Biochemical Pharmacology

Volume 34, Issue 11, 1 June 1985, Pages 2019-2024

(30) – Liang AL, Gingher EL, Coleman JS. Medical Cannabis for Gynecologic Pain Conditions: A Systematic Review. Obstet Gynecol. 2022 Feb 1;139(2):287-296. doi: 10.1097/AOG.0000000000004656. PMID: 35104069.

(31) – L. Jean-Gilles, M. Braitch, M. L. Latif, J. Aram, A. J. Fahey, L. J. Edwards, R. A. Robins, R. Tanasescu, P. J. Tighe, B. Gran, L. C. Showe, S. P. Alexander, V. Chapman, D. A. Kendall, C. S. Constantinescu. Effects of pro-inflammatory cytokines on cannabinoid CB1 and CB2 receptors in immune cells. Acta Physiologica. 2015 May. Volume214, Issue1. Pages 63-74

(32) – (33) –  Zanelati TV, Biojone C, Moreira FA, Guimarães FS, Joca SR. Antidepressant-like effects of cannabidiol in mice: possible involvement of 5-HT1A receptors. Br J Pharmacol. 2010 Jan;159(1):122-8. doi: 10.1111/j.1476-5381.2009.00521.x. Epub 2009 Dec 4. PMID: 20002102; PMCID: PMC2823358.

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